Suicide en 1918

Salut!

cela fait des années que je fait des recherches sur des soldats, et pourtant, ce soir, une surprise de taille, je suis tombé sur la fiche de décés d'un mort pour la France en 14 18 sur "mémoires des hommes" vraiment particuliére...

Je voulais la partager avec vous:

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Apparement il se serait donné la mort pendant une perm...

Bonjour,

Étrange surtout dans le sens où il figure dans Mémoire des hommes.
Normalement, le titre de "Mort pour la France" n'est pas reconnu aux soldats s'étant donnés la mort.

J'en parlais justement il y a quelques jours avec un ami colonel qui avait du refuser de mettre deux hommes qui s'étaient suicidés en Algérie sur un monument aux morts. Normalement, cela est formellement interdit.

Bien sur, c'est un fait, nullement un jugement de ma part, ces pauvres gars avaient du en arriver à un certain stade pour accomplir ce geste.

cordialement,
Antoine.

Salut!

Effectivement il y a eu quelques suicides répertoriés dans les tranchées, et le commandement à refusé pour beaucoup, d'accorder la mention mort pour la France...

Peut etre que la, il y a exeption car il s'agit d'un officier?

Officier d'administration de l'état major en plus... (une chose est sure c'est qu'il n'a pas du beaucoup fréquenter les tranchées...)

Bonjour,

Le suicide est peut être lié à autre chose (problèmes privés) ou grave blessures au front jamais assumé.
Par contre rien ne dit qu'il n'a pas connu les tranchées.
J'ai le livret d'un artilleur, sous off au moment du conflit qui a fait 2 ans de front, une blessure, Croix de Guerre suite à une action sous le feu de l'ennemi, puis, comme l'ami Robin, a été nommé officier d'administration à l'état major du Génie.
Il a fini capitaine de réserve dans les année 30 et décoré de la légion d'Honneur

Amicalement

Xavier

Salut,

Effectivement, pas courant cette mention !

Jérémy

Je ne crois pas qu'il entrent dans la vraie catégorie des MPF, ils sont répertoriés comme soldats morts, mais sans les droits qui vont avec. Enfin je pense.
La famille n'a pas du toucher les 200 frs que valaient un homme à l'époque.